Maladies psychiatriques, risque suicidaire, et marqueurs de l’inflammation.

J’avais déjà évoqué ce problème dans l’ouvrage collectif « IMMUNONUTRITION, se NOURRIR SELON SON IMMUNITE » paru aux éditions François Xavier de Guibert en 2007. Il était déjà évoqué que les « antidépresseurs » se comportaient comme des anti-inflammatoires et inversement. Le mécanisme biochimique, dans le cerveau y était déjà détaillé. En conséquence l’éviction des intolérances (ou hypersensibilités alimentaires) pouvait dans certains cas diminuer l’inflammation globale de l’organisme et améliorer des symptômes comme la dépression, la fatigue chronique et certains états psychiatriques.

Des recherches récentes confirment ce lien: écoutez attentivement le fichier audio et vous aurez probablement une autre perception des maladies psychiatriques et du risque suicidaire.

Merci au docteur Vincent HEDON et au docteur Philippe RAYMOND de nous l’avoir fait passer.