Le jeûne: solution extrême à certaines pathologies ? mise à jour mai 2015

ARTE a  diffusé un reportage passionnant le 6 mars 2015 qui retrace l’histoire du jeûne, d’abord en URSS puis pratiqué aujourd’hui dans de célèbres cliniques allemandes.

Il est également question du jeûne intermittent, en particulier dans le cadre du traitement des cancers (jeûnes de deux jours avant la chimiothérapie) et des expériences d’un célèbre chercheur californien.

Au moment où nous interrogeons à propos de l’impact de notre environnement et de ses polluants tels, les métaux lourds, les perturbateurs endocriniens et d’autres substances toxiques, ce reportage tombe à point: jeûner…c’est tout sauf prendre un risque pour sa santé et dans certains cas la retrouver à condition de respecter quelques précautions et contre-indications et d’accompagner le jeûne par une surveillance médicale, de l’exercice, des saunas, etc…

Lisez aussi:

Le renouveau scientifique du jeûne

Un jeûne de temps en temps pour une meilleure santé et la prévention du diabète;

Et également: le jeûne peut-il contribuer à l’amélioration de l’immunité et la guérison du cancer. Les expériences de  Valter Longo un chercheur orienté vers cette  discipline. Un jeûne de 48 ou 72 h tous les deux mois réduirait la prolifération de deux enzymes clés de la prolifération cellulaire: insulin like factor (IGF1) et protéine kinas A (PKA). La baisse de cette dernière en stimulant la formatin de cellules souches contribuerait au renouvellement de notre système immunitaire.